Après sa tentative avortée d’imposer la loi martiale dans le pays, le président sud-coréen est désormais soumis à une interdiction de quitter le territoire, annoncée par les services immigration du ministère de la Justice. Le chef d’État est également visé par une enquête pour « rébellion ».

Concernant la motion de destitution contre le président Yoon Suk Yeol, elle n’a pas abouti en raison du boycott du scrutin par le Parti du Pouvoir Populaire, auquel appartient le président actuel, ce qui a entraîné l’invalidation du quorum.