Dans sa requête du 28 février, l’avocat de l’imam Mahjoubi a contesté l’expulsion ordonnée par le ministre de l’intérieur qui avait signé en personne l’arrêté d’expulsion du religieux connu, selon lui, des services préfectoraux pour son discours radical.

Il soutient notamment que cette expulsion porte une atteinte grave et manifestement illégale au droit au respect de sa vie privée et familiale protégé par les stipulations de l’article 8 de la convention européenne de sauvegarde des droits de l’homme et des libertés fondamentales, à la liberté d’aller et de venir et au droit à un recours effectif.

Par une décision rendu ce lundi 4 mars, le tribunal administratif de Paris rejette cette demande.

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